Un enfant d’Étretat court la côte et sous les cailloux frappent ses tables qui se multiplient, ses mots qui s'accordent, ses notes qui dissonent. Il est insouciant à suivre le vent d’Étretat qui le mène loin des écrans de son temps, vers le sable des roches ratatinées, poudre de trace des formes passées qu'on dirait aussi hachées que des idées de Platon. Dans ces falaises point de cavernes mais des rêves lovés de l'enfance féroce.