Voir un film comme on rêve.
Je me souviens de m’être endormi devant Un homme qui dort de Bernard Queysanne et Georges Perec et m’être réveillé, pénible ouverture des yeux, face à un champ de ruines surmonté d’une cuvette de toilette en feu. Impérissable sensation de bien-être où l’irrél prend le dessus et m’enveloppe.