Bienvenue
Origine(s) a vu le jour le 06 mai !
Qu'est-ce que c'est ? Eh bien, c'est ma nouvelle microrevue (2 pages pour le numéro 00 - 4 pages minimum pour les suivants) qui va sortir toutes les deux semaines. Elle sera bientôt disponible dans la boutique.
Plein d'autres nouveautés sont en cours de préparation, notamment une mise à jour importante du site. Très bientôt, il sera à nouveau parfaitement fonctionnel et à jour. J'y travaille activement (enfin aussi activement que ma connexion Internet le permet). N'hésitez pas à revenir régulièrement pour voir tout ce qui change, et si vous voulez être tenu au courant, rendez-vous en bas de cette page pour vous inscrire à la lettre d'info.
Voilà, voilà, j'espère que nous nous recroiserons très prochainement. Bonne visite et bonne lecture à toutes et à tous !
Les derniers textes publiés
Voyagez au hasard !
- La mémoire est un filet
- Amour I
- Mettre un coup de scalpel
- Brûler, tout simplement
- Mirage étoilé
- Mise au jour d’une loche à pavillon
- À venir
- Mais ça me tue
- Rupture
- Au centime près
- L’hors cosmos de la bête
- Expérience #01
- Ta photo qui bouge
- À la dérobée
- Machinalement
- Les instruments du hasard
- Rêve d’onde
- Ce i sans tête
- La fleur donne le fruit
- Lancement
- De l’évidence d’écrire
- Tu as vu l’ombre
- Culture du jour
- Le goût de la tartine
- Un texte sur le visage
- Le poète sans rôle
- Retrait différé
- Coup d’œil sur le sOnneur n°10
- Les croûtons à l’ail
- Cohabiter n’est pas vivre ensemble
- Juin de ma vie
- Le temps sans délai
- Sous-bois
- Revers
- Je pense aux clés
- Revoir Dijon
- Vision de nuit
- Se souvenir
- C’est un chemin qu’aucune sentinelle ne garde
- Je n’aime pas jeter
- Le jeune Karl Marx (film)
- Au carrefour
- Envie de départ
- Ambazonie
- Un enfant d’Étretat
- Nouveau départ
- L’auteur n’est pas abstrait
- L’écorchée de feu
- Libre jusqu’à la mer
- Le Neptune – épisode 1/2
- Nous sommes le monde, agissons.
Point zéro
LE PRÉSENT COMME POINT DE DÉPART
Ceux qui me suivent le savent, la régularité n’a pas été mon fort, jusque-là. Peut-être par manque de conviction. Peut-être par manque de confiance. Sans doute par défaut d’énergie. Et pourtant… je ne cesse d’écrire tous les jours, de lire, de m’intéresser à l’actualité, à l’histoire, à la géopolitique, à la musique, etc. Ma vie est remplie de découvertes, d’émerveillements, de surprises, d’expériences, d’apprentissages, de perspectives, d’idées, etc.
C’est un peu de ce tourbillon que j’aimerais partager plus assidûment avec vous. Partager mon écriture bien sûr mais pas seulement. L’univers est si vaste qu’aucune vie ne suffirait à l’épuiser.
Alors,
– et c’est ce qui me retenait jusqu’à aujourd’hui, la futilité ou plutôt la vanité que représentaient, fallacieusement, pour moi les échanges trop fréquents, le sentiment d’obligation qu’ils faisaient peser sur moi. Et pourtant, peut-on exister sans partager, sans échanger ? J’évoque ici une certaine co-évolution intellectuelle, sociale et politique —
faire partie du monde, évoluer avec lui.
Je vais poser des blocs, peut-être des architectures déstructurées, déconcertantes, inabouties. Je vais accepter l’imperfection de ma pensée en action, de mon action en pensée. Je vais accepter d’être faillible, exposé, visible, audible j’espère, et très attentif à vos retours. Loin de tout jugement. Avec pour seul intention de mieux comprendre pourquoi je vis ici, maintenant. Comprendre pourquoi je suis un homme.
«Zéro est une clairière, celle où tout commence.»